Portraits de clients accompagnés par My Beautiful Value.

Leur histoire pourrait être la vôtre. Elle raconte ce qui fait noeud dans les quotidiens de vie en entreprise. Mais surtout elle raconte comment chacun a trouvé ses propres ressources pour transformer sa posture et prendre pleinement plaisir à faire un travail de qualité en étant aligné.

Laissez-vous inspirer par ces histoires. Chaque situation est unique. La vôtre l’est également. Mais l’issue favorable du travail qu’ils ont mené, avec un accompagnement approprié et personnalisé, est une invitation à ouvrir le champs des possibles pour qui veut s’offrir un futur optimisé.

Crédit photo: Jurica Koletic

Paul est responsable des opérations dans une PME industrielle dont l’activité est répartie sur 3 sites de production. Paul est un ingénieur. Il aime son métier. Il aime l’usine, son ambiance, ses odeurs, le travail des Hommes. Ce qui le fait vibrer tous les matins c’est de savoir que d’une matière brute nait un bel ouvrage.

Oui mais voilà Paul est manager. Au quotidien, avec son équipe directe, les choses se passent plutôt bien. Il fonctionne à l’instinct Paul, il sait naturellement quelle posture adopter face à une situation précise.

Et c’est parce qu’en ce sens, Paul est bon manager que la Direction lui a demandé de prendre en charge un projet majeur pour le bon fonctionnement de l’entreprise: la communication interne. Le climat social est tendu, des divergences émergent entre les 3 sites et des points de blocage agitent certaines lignes de production.

Oui mais voilà Paul n’est pas un expert de la communication interne. Et la culture de l’entreprise n’invite pas à faire appel à des ressources externes. Mais quand le chemin de Paul croise celui de My Beautiful Value, émerge l’idée d’une journée au cours de laquelle la parole serait donnée au plus grand nombre.

Cette journée est devenue un séminaire d’intelligence collective. Cette journée a permis de constater qu’en laissant s’exprimer les personnes concernées par le problème il n’y avait (presque) plus de problème. Cette journée a été le déclencheur d’une démarche participative pérenne.

Tout n’est pas parfait. Paul n’est pas parfait. Mais Paul a osé faire différemment, il a osé faire entrer dans l’entreprise des pratiques alors inconnues. Le (bon) chemin est pris. Reste à continuer la randonnées en n’oubliant pas d’enlever les cailloux de sa chaussure dès qu’ils apparaissent.

Les 3 mots clés de cette histoire? Confiance, oser, expérimenter.

fleur my beautiful value
Crédit photo: Jack Nakos

Quel plaisir de vous présenter Marie, chargée de communication pour une association régionale.

S’il devait y avoir une image pour représenter le quotidien professionnel de Marie, ce serait le funambule… celui qui cherche en permanence le juste équilibre entre la voix de la gouvernance associative (le bureau et le CA), la voix de la direction générale (le DG et ses collègues salariés), la voix des bénévoles et la voix des bénéficiaires.

A chacun sa juste vision des choses, à chacun ses enjeux, à chacun ses besoins et ses envies. Entre la professionnalisation nécessaire des fonctions support et la spontanéité inhérente à la vie associative, Marie se sent parfois un peu perdue quant à son périmètre d’action (formel et informel), sa légitimité à vouloir structurer et sa capacité à être présente partout et nulle part.

Que lui avons-nous conseillé?

De surfer sur la vague plutôt que de serrer au près*. La vie associative se nourrit d’initiatives plurielles au service d’un projet commun. La professionnalisation des fonctions support et de la mise en œuvre des actions se sont inscrites dans cette pratique de la co-construction.

Encore une fois, l’intelligence collective a démontré toute sa puissance. Après avoir mis toutes les parties prenantes autour de la table, les projets de Marie ont trouvé une issue favorable au yeux de tous. Et Marie a conquis chacun sur sa capacité à gérer des chantiers majeurs. Sa légitimité est acquise auprès du CA, de la DG et des bénévoles. Dans ce système complexe, Marie a trouvé sa place à 360° pour une qualité de service aux bénéficiaires de l’association.  

*Un voilier serre au près quand il avance face au vent et vire des bords serrés (bateau à la gite)

fleur my beautiful value
Crédit photo: Stéphanie Liveran

Claire dirige une start-up qui a vécu une croissance incroyable.

En quelques mois la petite entreprise est une devenue une PME de 100 collaborateurs.

Quel plaisir pour Claire de voir son embryon de projet devenir une belle adolescente vive et pétillante. Claire a développé, Claire a recruté, Claire a déménagé. Mais Claire n’a pas structuré.

« J’ai créé une start-up… c’est agile une start-up, ça fonctionne très bien sans être structuré… »

L’aventure est allée au galop, les financements, les contrats, les innovations, les autres financements, les clients, les partenariats. Il a fallu s’agrandir, renforcer les équipes et aller droit au but… accompagner la croissance.

Aujourd’hui Claire est perdue, s’est perdue. Elle a surtout perdu les valeurs qu’elle voulait siennes à la création de la start-up, elle a perdu le lien direct qu’elle nourrissait avec ses collaborateurs. Elle ne se reconnait plus dans la grande dame qu’est devenue son entreprise.

  • Comment faire pause?
  • Comment retrouver ses valeurs?
  • Comment s’assurer qu’elles sont partagées par tous?
  • Comment raconter son histoire pour en faire un projet collectif?
  • Comment faire cohabiter structuration et agilité?

Ensemble est le mot valise que nous retiendrons de cette histoire. Car même si Claire est le 1 du départ, c’est ensemble qu’ils réussiront le 100 de maintenant.

fleur my beautiful value
Crédit photo: Sincerely-media6ne7

Virginie bosse à la compta…

La compta… ce service dont l’image est parfois un peu écornée. Ce service que tout le monde voit comme un empêcheur de tourner en rond car il dit toujours non, que nous avons rangé dans la case ‘contraintes’ à cause de tous ses protocoles administratifs. Ce service qu’on ne comprend pas et qui ne nous comprend pas.

Virginie est passionnée. Passionnée par son métier et passionnée par les relations humaines. Virginie aime travailler avec les autres. Mais elle a l’impression que les autres ne veulent pas travailler avec elle.

Pourtant elle a fait le job: démonstration de son expertise, petit-déjeuner de présentation des services qu’elle peut apporter. Tableaux de bord à l’appui, Virginie n’a de cesse de démontrer son utilité. Mais elle a toujours l’impression de nager à contre courant.

Ensemble, nous avons dessiné sa carte systémique. D’abord l’entreprise système, ses acteurs et leurs enjeux. Virginie positionne ses parties prenantes et me raconte leurs histoires. Puis Virginie me raconte son histoire, son système tel qu’il est aujourd’hui et tel qu’elle aimerait le voir demain.

« En quoi puis-je t’être utile? »

Voilà le résultat de son travail. Virginie est passée d’une posture de vendeur d’offres à une posture de facilitateur, apporteur de solutions.

Les portes se sont ouvertes, les langues déliées. Virginie travaille avec tout le système. Elle est devenue un maillon fondamental de tous les projets transverses de l’entreprise. Au quotidien, la compta a retrouvé sa place de business partner.

fleur my beautiful value
Crédit photo: Itay Verchik

Laurent manage une équipe de techniciens dans un centre des congrès. C’est grâce à Laurent et son équipe que vous pouvez assister au concert de Julien Doré un jour et vous promener au salon de l’étudiant le lendemain.

Ils montent et démontent les infrastructures du centre avec toute l’expertise et l’harmonie d’une nage synchronisée… Enfin ça, c ’était avant. Avant la crise sanitaire. Parce que depuis mars 2020, Laurent et son équipe sont au chômage partiel. Et qui dit chômage partiel dit distance physique, dit durée légale de connexion à l’entreprise limitée, dit perte de motivation et d’engagement pour certains, peurs et dépression pour d’autres.

Mais Laurent ne sait pas comment gérer la situation.

Entre ses propres besoins, les besoins de la loi, et ceux de ses collaborateurs (le plus souvent non exprimés) Laurent est déstabilisé dans son rôle de manager. Que faut-il dire à ses équipes quand personne ne sait ce qu’il va se passer? Comment donner des perspectives quand l’avenir de l’entreprise est incertain? Quel est le rôle du manager dans cette situation inédite?

Je vous raconte l’histoire de Laurent, mais j’ai ainsi accompagné les 20 managers de cette entreprise spécialisée dans l’événementiel. Nous avons passé 4 mois à travailler à distance sur les émotions, l’écoute active, le management appréciatif, la communication positive, l’empathie, l’assertivité, etc.

Laurent et ses collègues ont trouvé des ressources pour accueillir la situation sous un autre angle. Ils se sont autorisés à sortir du champ purement professionnel pour créer un lien nourricier avec les collègues. Ils ont découvert le co-développement et ne l’ont plus quitté. Ils se sont engagés dans un autre avenir à construire ensemble. Je les ai vus rire, je les ai vus pleurer. Je les ai quittés souriants et reconnaissants.

Je pense à eux très fort, en espérant que, pour le bonheur de tous, les activités événementielles pourront vite reprendre.

fleur my beautiful value
Crédit photo : Maxime

Maxime est un manager hybride. Cette nouvelle sémantique post covid qui émerge dans les entreprises fait référence à une équipe qui travaille pour partie à distance et pour partie en présentiel. Si l’idée est intéressante pour l’entreprise et les collaborateurs (optimisation des espaces, coûts et temps de transport réduits, meilleur équilibre vie pro et vie perso, etc.) elle est plus complexe pour les managers.

Maxime est une victime collatérale du management hybride. Faut-il qu’il soit à 100% sur site pour être physiquement présent pour tous? Que deviennent alors ses propres attentes et besoins ? Comment animer un collectif avec cette gestion des ‘ressources’ de plus en plus individualisée? Comment animer des réunions efficaces? Comment créer et nourrir une cohésion d’équipe dans ce contexte différencié? Comment réussir à être au rendez-vous des objectifs opérationnels ?

Nous avons travaillé avec Maxime sur la question des identités professionnelles, du rôle et de la place de chaque collaborateur dans le système et du lien qui unit chacun à son travail. Nous avons questionné l’équipe sur l’ambiance de travail vécue individuellement par chacun pour faire émerger les axes sur lesquels Maxime devait concentrer ses efforts.

Quand le terrain est instable, les rituels sont des marqueurs refuges. Maxime nous a suivis dans cette idée et avec son équipe, ils se sont constitués des rituels qui viennent rythmer leur quotidien quelle que soit l’hybridation mise en œuvre. Ces rendez-vous leur sont propres, ils correspondent à leur identité d’équipe, ils sont attendus par tous, ils font du bien et ils fonctionnent.

Maxime n’est pas un adepte de la formule hybride. Mais il a réussi à trouver les leviers pour activer le collectif. « En fait, si chacun fait un petit bout du chemin chaque jour, on finit par se retrouver« .